mercredi 6 avril 2016

Noyon et Ourscamp

Cathédrale Notre-Dame de Noyon
Nous sommes allés à Noyon, à environ 40 km de la maison. Nous y allions pour visiter la Cathédrale Notre-Dame, une des premières grandes églises gothiques de France. La construction a débuté en 1145 et s’est achevée en 1235. Nous sommes entrés dans ce temple à midi et le sacristain nous a informés qu’il fermait l’église à 12h30. Puis, sans qu’on le lui demande, il nous a tracé toute l’histoire des lieux en nous ouvrant des portes parfois interdites au public. Il nous a invités à poursuivre la découverte du temple après 13h30. Nous y sommes retournés et, une fois de plus, il nous a donné une grande quantité d’informations et nous a ouvert d’autres portes. Inutile de dire que nous étions enchantés. Un généreux pourboire a semblé le ravir.

Entre les deux visites, nous avons lunché à l’Entracte, un petit bistro dans un centre commercial où le principal occupant est Auchan, sorte d’immense Wall-Mart plus luxueux cependant. Nous avons acheté des draps de lit car dans notre dernier appartement à Roquebrune-Cap Martin, ils ne sont pas fournis avec la location.

Abbaye de Ourscamp
Nous nous sommes ensuite dirigés vers Ourscamp pour visiter l’Abbaye du même nom. De grands efforts de restauration nous permettent d’apprécier l’architecture de plusieurs bâtiments. Quelques ruines ajoutent un peu de romantisme et nous rappellent un passé grandiose. Un guide bénévole nous a offert de nous guider pour bien comprendre les vestiges. Une visite qu’on croyait durer une demie-heure s’est déroulée sur près d’une heure et demie. Ce bénévole a refusé catégoriquement tout pourboire.

Dans les deux cas, ces guides sont des passionnés d’histoire et ont su nous faire entrer dans le passé et le présent palpitants de ces monuments historiques.

Super belle journée. 



La p’tite vie en Peugeot 308

Plutôt que de communiquer avec Peugeot, j’ai décidé, ce matin, d’aller au garage FM Autos à 1 km de l’appartement. L’affaire fut conclue en moins d’une minute. À titre de curiosité, sachez que, contrairement au Québec, ici, en France, sur cette Peugeot tout au moins, la plaque d’immatriculation est rivée à la carosserie. Plus difficile à voler.

Le garagiste a d’abord retiré le rivet brisé à l’aide d’une perçeuse électrique et, ensuite, il a introduit un rivet dans le petit trou, deux, trois coups de pistolet riveteur et hop, merci bonjour et c’est gratos pour vous le Québécois.