Départ à l'heure prévue : 10 h. Réservoir presque à sec mais ça devrait être suffisant pour se rendre à l'aéroport situé à 24 km de Roquebrune. Et ç'a été. On restitue l'auto dans une condition impeccable, le voiturier informe l'hôtel de notre arrivée, on marche jusqu'au Terminal 1 pour aller à la rencontre de la navette mais nous sommes déviés par un militaire lourdement armé. On se rend compte que l'aéroport est sous tension, beaucoup de policiers, beaucoup de barrières, beaucoup de gens inquiets ne comprenant pas ce qui se passe. On a attendu 1 heure avant que les barrages soient levés et que la navette puisse nous cueillir.
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Restaurant A Buteghinn'a |
Voici ce que nous avons appris : ce matin, on a découvert un colis abandonné dans l'aéroport. La Sécurité a immédiatement fait évacuer les aires de départ et d'arrivée, une équipe spécialisée s'est amenée avec un robot et le colis a été désintégré sur place. Par chance, nous sommes arrivés à la fin du processus.
Dès les valises déposées dans la chambre, nous avons pris un bus qui nous a conduits dans le Vieux Nice. Et nous nous sommes empressés de nous rendre au restaurant A Buteghinn'a, dans la rue du Marché. Restaurant de spécialités niçoises exclusivement.
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Menu du jour |
Gisèle s'est régalée d'une assiette provençale permettant de goûter à un éventail de 14 mets provençaux et moi, j'ai dégusté une ratatouille et ses deux oeufs, autre spécialité niçoise. Un demi de rosé a permis de bien mouiller ce repas.
Marche dans les rues de Nice pour faciliter la digestion, retour à l'hôtel, les pieds endoloris mais heureux de rentrer à l'air climatisé. Ce fut une journée torride.
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Assiette provençale |
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Journée torride |
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