Au lever, ce matin, il pleuvait légèrement. Puis, la pluie a cessé et les nuages se sont installés solidement. Qu’à cela ne tienne, munis d’une voiturette pour transporter les achats, nous nous sommes dirigés vers le marché fermier présent le mercredi à Roquebrune-Cap-Martin. Malheur ! Une longue marche pour arriver devant des étals de marché aux puces. Un comptoir de pâtes, un comptoir de poissons et des comptoirs de marchandises diverses de qualité douteuse (à notre oeil).
Monaco vu de Roquebrune
Retour au bercail, dîner et départ vers le Vieux Roquebrune sous un soleil radieux mais anémique. Le vieux Roquebrune, berceau de la cité, accroché à la paroi rocheuse surplombe la mer par une pente vertigineuse de près de 300 mètres. Ce village perché au charme si italien, on le découvre en flânant dans les denses entrecroisements de ruelles en pentes raides et en escaliers tortueux. Comme ce n’est pas encore la haute saison touristique, les boutiques pour touristes, qui généralement investissent les vieilles maisons, n’avaient pas encore encombré les rues de leurs marchandises.
Rue Moncollet
Nous avons marché dans la rue Moncollet taillée dans la roche. Rue médiévale surprenante aux passages étroits coupés d’escaliers. Nos mollets endoloris nous ont suppliés de ne pas grimper jusqu’au donjon. Nous avons été obéissants.
Retour à l’appartement, gelati malaga et chocolat sur la Promenade en front de mer et rosé sur la terrasse en attendant les pâtes aux écrevisses !
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